Il faut savoir qu'en Turquie, se moquer de Mustafa Kemal Ataturk est un crime sévère pouvant mener directement derrière les barreaux. La division turque de CNN, en réponse à ces agissements, avait posté un lien sur son site officiel permettant de se plaindre directement au géant YouTube, ce qui, comme mentionné plus haut, a porté fruit.
Turk Telekom, le plus grand fournisseur de télécommunications en Turquie, a déjà commencé à appliquer le bannissement. Son président, Paul Doany, a expliqué « nous ne sommes pas en position de dire que ce que YouTube a fait est une insulte, que c'était bien ou mal. » Puis, il aurait expliqué que le site, une propriété de Google depuis le 9 octobre 2006, pourrait être accessible par le biais d'autres fournisseurs Internet.
Par Michaël Bertiaux
Aucun commentaire:
Publier un commentaire